Mogador 7
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Ta Main !par Mohammed Hifad

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Ta Main !par Mohammed Hifad Empty Ta Main !par Mohammed Hifad

Message par Admin Ven 12 Fév - 17:04

Ta Main !par Mohammed Hifad Oeil_b10

Tu m’as rendu la vie,
Après ma mort,
Dans ma tendre enfance,
Car Tu me destinais à une Mission,
Dans ma première vie
Et dans ma deuxième Vie.
Le jour de mon opération
À la colonne vertébrale,
Pour une greffe dangereuse,
Une infirmière amie  a dit à ma mère
Que ce genre d’opération ne réussit pas
Et lui conseilla de se lever tôt
Et de m’emmener  au village.
Elle était enceinte et ne pouvait pas me porter.
Nous sommes arrivés vers midi ,
Par une chaleur torride.
Ma mère prie un Marabout ,
Qui se trouve à l’entrée du village ,
De lui venir en aide.
Puis, selon son témoignage ,
Je me suis levé
Et mon dos, qui était courbé,
Comme celui d’un vieillard,
Se redresse de plus en plus
Que j'avançais lentement et difficilement.
Je suis arrivé à la maison,
Complètement guéri.
Ta généreuse Main avait entendu
La prière de ma mère.
Tu as fait passer une ambulance,
En pleine vitesse,
Près du pont,
Entre les voleurs et moi,
Qui étais sur une bicyclette,
Contre le vent violent,
Alors que je portais sur moi un bracelet en or.
Tu m’as suggéré de dire,
À celui qui allait m’agresser à Casablanca,
Près de l’ancienne foire,
Que nous sommes tous des frères
Et je l’ai calmé, en lui offrant
Un paquet de cigarettes.
Des policiers sont venus m’arrêter,
Après une longue grève,
Et Tu m’as suggéré de sortir du lycée,
En enlevant mes lunettes,
Pour ne pas être reconnu,
Ce qui a causé l’arrestation d’un ami,
Qui me ressemble,
Comme deux gouttes d’eau.
Des policiers sont venus m’arrêter,
Après une longue grève,
Et Tu m’as suggéré de sortir,
Avec mon cartable à la main,
Leur disant que j’allais au travail,
Cet après-midi-là,
Et que le matin,
Je ne travaillais pas d’habitude.
Ils m’ont laissé partir en paix,
Alors que celles et ceux
Qui avaient fait grève ce jour-là,
Etaient tous radiés,
Définitivement ,
De la fonction publique.
Lors de la visite du Ministre pour ma classe,
Un triste mot est resté écrit au tableau : « fresque » ,
Comme si je l’avais fait exprès,
Ce qui  allait me coûter cher.
Un haut responsable est revenu,
Juste après la sortie du Ministre,
Mais un autre l’a arrêté devant la porte.
Ta main protectrice ne m’a jamais lâché.
Quand un chien  vient m’attaquer,
Un autre surgit de nulle part pour l’arrêter.
Quand une femme ou un homme
Vient se disputer avec moi,
Une autre femme ou un autre homme
Arrive pour l’arrêter et l’éloigner de moi.
J’avais écrit  une lettre pour Hassan II,
Lui demandant de rendre le loyer,
Après un certain nombre d’années,
Le prix  du logement loué.
Il ne m’avait pas répondu,
Mais il a réduit d’un tiers tous les loyers au Maroc
Pour celles et ceux qui gagnaient
Moins de mille cinq cents dirhams par mois.
Tous mes collègues et ami.e.s s’attendaient
À ce qu’on vienne m’arrêter à l’époque,
Pour avoir osé écrire au Roi lui-même.
Je n’ai pas bénéficié de cette mesure,
Mais j’avais fait le bonheur de bien des familles.
Parti à la  pêche,
Au bord de la mer,
Par une nuit opaque,
Deux médecins, en blouses blanches,
M’avaient permis de faire l’amour
Avec une belle femme.
Mais à la fin, ils m’ont appris
Qu’il ne s’agit que d’un robot,
Couvert d’une peau,
Qui ressemble à celle des humains.
Ils ont enlevé cette peau
Pour me montrer un robot  en fer.
Ils m’ont dit qu’ils m’ont sélectionné
Et voulaient mon sperme
Pour des analyses et des expériences.
Ils ont aussi introduit une longue  aiguille
Dans ma tête pour prendre
Un échantillon de mon cerveau.
Je me suis réveillé,
La main à l’endroit de la piqûre,
Avec une sensation de douleur.
Un soir, alors que je me posais des questions
À propos de la dictature  d’un gouverneur en ville,
Que le Polisario appelait le Hassan II de Mogador,
Et que je mettais en doute l’existence d’un Dieu,
Pour avoir permis tant d’injustices,
Une forte rafale de vent,
Comme une tornade,
A brusquement ouvert mes fenêtres,
Comme une explosion,
Qui m’a réveillé de mon questionnement,
Et rappelé à l’ordre.
Une fois en stage à Rabat,
Malade et me trouvant dans le restaurant
D’un Centre de Formation,
Tout se mettait à tourner autour de moi
Et je ne connaissais personne
Pour lui demander de l’aide.
J’ai levé les yeux vers une fenêtre
Qui s’est brusquement ouverte
Et une bouffée d’air frais
Est venue me rafraichir  le visage et tout le corps.
Aussitôt, comme si de rien n’était,
Je me suis levé et je suis allé dans ma chambre.
Une nuit, alors que je lisais une traduction de la Bible,
Je pleurais, sans savoir pourquoi.
Cette nuit là , Tu m’avais demandé
Si je voulais être Ton Messager.
J’avais refusé, par humilité,
Mais c’était une situation initiale
Et je Te demande à mon tour
De me répondre dans sa répétition ou symétrie.
Si j’accepte, il faut me donner plus de pouvoir
Que  Salomon, Moïse,  Jésus et Mahomet,
Car mes contemporains ont atteint
Un degré de connaissances bien supérieur
A celui de tous leurs peuples respectifs.
Tu m’as suggéré, dans mes situations initiales,
Une religion, une spiritualité et le signe d’une Divinité
Qui ne saurait être Toi-même,
Puisque je ne Te connais pas ,
Et Tu ne m’as parlé que dans mon rêve ou vision.
A Toi l’Inconnu, Evident pour mon esprit,
Je Te prie de m’apprendre l’inconnu
Et de continuer à me guider et protéger
Ici et maintenant,
Dans mes initiales,
Qui m’appartiennent,
Et que Tu m’as données Toi-même,
Et leurs symétries qui T’appartiennent,
Sans partage,
C’est Ta parole, Ton Décret, Ta Révélation,
Tes Suggestions, Ton Inspiration,
Ta Justice, Ton Equilibre Universel, Ton Livre,
Ton Jugement dernier,
Ici et maintenant,
Ton Paradis ou Ton Enfer,
Ici et maintenant,
Pour l’Eternité!
Je trace un cercle sept fois ,
Par mon chapelet ,
Autour de moi.
Je le fais tourner sept fois ,
Autour de ma tête,
Autour de mon cœur,
Autour de mes mains
Autour de mes pieds
Et je m'endors du sommeil du Juste!
Amane ( = l'eau) à l’initiale!
Amane ( = l'eau) à sa symétrie !
Mohammed Hifad.
Foulouste.
Jeudi 11 février 2021.
Your hand !
You gave me back my life,
After my death
In my early childhood,
Because You destined me for a Mission,
In my first life
And in my second Life.
The day of my operation
To the spine,
For a dangerous transplant,
A nurse friend told my mom
That this kind of operation does not succeed
And advised him to get up early
And to take me to the village.
She was pregnant and could not carry me.
We arrived around noon,
In scorching heat.
My mother prays to a Marabout,
Who is at the entrance to the village,
To help him.
Then, according to his testimony,
I got up
And my back, which was bowed,
Like that of an old man,
Straightens up more and more
That I was walking slowly and with difficulty.
I arrived at home,
Completely healed.
Your generous Hand had heard
My mother's prayer.
You passed an ambulance,
At full speed,
Near the bridge,
Between the thieves and me
Who was on a bicycle,
Against the strong wind,
While I was wearing a gold bracelet.
You suggested that I say,
To the one who was going to attack me in Casablanca,
Near the old fair,
That we are all brothers
And I calmed him down, offering him
A pack of cigarettes.
Police officers came to arrest me,
After a long strike,
And You suggested that I get out of high school,
By taking off my glasses,
To not be recognized,
What caused the arrest of a friend,
Who looks like me,
Like two drops of water.
Police officers came to arrest me,
After a long strike,
And You suggested that I go out,
With my schoolbag in my hand
Telling them that I was going to work,
That afternoon
And that in the morning,
I didn't usually work.
They let me go in peace,
While those
Who had gone on strike that day,
Were all written off,
Definitely,
Of the public service.
During the Minister's visit to my class,
A sad word remains written on the board: "fresco",
As if I did it on purpose
Which was going to cost me dearly.
A senior official has returned,
Just after the Minister left,
But another stopped him at the door.
Your protective hand has never let go.
When a dog comes to attack me,
Another pops up out of nowhere to stop him.
When a woman or a man
Come and argue with me
Another woman or another man
Arrive to stop him and pull him away from me.
I had written a letter for Hassan II,
Asking him to return the rent,
After a number of years,
The price of the rented accommodation.
He didn't answer me,
But he cut all rents in Morocco by a third
For those who won
Less than one thousand five hundred dirhams per month.
All my colleagues and friends were expecting
When they come to arrest me at the time,
For having dared to write to the King himself.
I did not benefit from this measure,
But I had made many families happy.
Gone fishing,
At the seaside,
On an opaque night,
Two doctors, in white coats,
Allowed me to make love
With a beautiful woman.
But in the end they taught me
That it’s just a robot,
Covered with skin,
Which resembles that of humans.
They removed this skin
To show me an iron robot.
They told me they selected me
And wanted my cum
For analyzes and experiments.
They also introduced a long needle
In my head to take
A sample of my brain.
I woke up,
The hand where the bite was,
With a feeling of pain.
One evening, while I was wondering
About the dictatorship of a governor in town,
That the Polisario called the Hassan II of Mogador,
And that I doubted the existence of a God,
For allowing so much injustice,
A strong gust of wind,
Like a tornado,
Abruptly opened my windows,
Like an explosion
Who woke me up from my questioning,
And called to order.
Once in an internship in Rabat,
Sick and finding myself in the restaurant
A Training Center,
Everything started to revolve around me
And I didn't know anyone
To ask him for help.
I looked up to a window
Which suddenly opened
And a breath of fresh air
Came to refresh my face and my whole body.
Immediately, as if nothing had happened,
I got up and went to my room.
One night while reading a Bible translation,
I was crying, not knowing why.
That night you asked me
If I wanted to be Your Messenger.
I had refused, out of humility,
But it was an initial situation
And I ask you in turn
To answer me in its repetition or symmetry.
If I accept, you have to give me more power
May Solomon, Moses, Jesus and Muhammad,
Because my contemporaries have reached
A much higher level of knowledge
To that of all their respective peoples.
You suggested to me, in my initial situations,
A religion, a spirituality and the sign of a Divinity
Who cannot be yourself,
Since I don't know You,
And You only spoke to me in my dream or vision.
To You the Unknown, Obvious to my mind,
I pray that You'll teach me the unknown
And continue to guide and protect me
Here and now,
In my initials,
Who belong to me,
And that You gave me Yourself,
And their symmetries that belong to You,
Without sharing,
It is Your word, Your decree, Your Revelation,
Your Suggestions, Your Inspiration,
Your Justice, Your Universal Balance, Your Book,
Your Last Judgment,
Here and now,
Your Heaven or Your Hell,
Here and now,
For eternity!
I draw a circle seven times,
By my rosary,
Around me.
I spin it seven times,
Around my head
Around my heart
Around my hands
Around my feet
And I fall asleep from the sleep of the Just!
Amane ( = water) initially!
Amane ( = water) to its symmetry!
Mohammed Hifad.
Foulouste.
Thursday 11 February 2021.
Google traduction.

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